Mes ongles, des paillettes, du striping-tape et la fête pour 2015 !

(Cette année, j’ai pris la bonne résolution de…ne pas prendre de résolutions. En règle générale, je scande le 31 décembre que je vais me remettre au sport, perdre du poids, arrêter de fumer…et le 1er janvier après avoir cuvé je réalise le monceau d’âneries déblatérées la veille et je choisis de les oublier. D’habitude les amis et la famille n’ont aucune preuve de mes bonnes résolutions sauf que l’année dernière, j’ai merdé. J’ai laissé des traces juste là.

( Est-il utile de préciser que je n’ai strictement rien tenu ? Ah si, j’ai quand même perdu 8kg….pour en reprendre dix.)

Le premier article de l’année ne sera donc pas consacré à laisser de nouvelles preuves de mon manque total de

Winter is coming : Alpine Snow et flocons en paillettes

Je le savais. C’était inéluctable. A force de regarder de sublimes minividéos sur Instagram, mon neurone ongulaire s’est réveillé, mes synapses du nail-art se sont mises en branle pour venir exciter une région de mon cerveau restée trop longtemps en sommeil.

Oui, hier soir, j’ai repris mes pinceaux tout en contemplant mes trop nombreux flacons de vernis : comment diable ai-je fait pour en accumuler autant ? Vais-je seulement réussir à en finir un ? Il faut dire que c’est mal barré vu ma propension à délaisser totalement mes griffes ces derniers mois…

Après une plombe pour choisir les teintes, une autre ( plombe ) pour définir ce que j’allais en faire ( = un truc pas trop compliqué, j’ai perdu la main ), j’ai finalement opté pour quelque chose de simple et somme toute, assez banal : un dégradé.

 

Je me suis confortablement installée sur mon canapé mon tapis ( le canapé attend sagement chez But que je vienne le chercher ) et je me suis lancée. J’avais peur que ça me prenne un temps

Le Nail-Art des Paresseuses ( #CONCOURS )

Huit mois que je n’ai pas verni mes griffes. Huit mois où mes envies folles de manucurer mes ongles sont immédiatement avortées à la pensée que le lendemain au travail, je vais tout bousiller. Huit mois que mes 243 vernis (environ) se sentent seuls et abandonnés. C’en est trop . Voilà des semaines que je me gave de mini-vidéos sur Instagram et c’est officiel , j’ai envie de m’y remettre, de replonger dans des tourbillons colorées, des volutes de paillettes et des dégradés de flakies.

Le problème c’est qu’après ces huit mois de disette ongulaire, j’ai une trouille monumentale de me planter. Qu’en lieu de place de vernis parfaitement apposés et de surfaces lissées, je me retrouve avec de gros pâtés informes sur les ongles.

Je me suis dit que je n’étais certainement pas seule à me trouver démunie face au nail-art et sa complexité, et j’ai eu envie de vous proposer un concours express pour celles qui comme moi, n’ont pas touché leurs vernis depuis

❄ CONCOURS : LaLuBox de Noël ! ❄

Tu as peut-être déjà dressé ton sapin dans le salon, laissé les mômes le décorer avec un bon goût tout relatif tandis que le chat s’amuse à grimper aux branches pour dégommer les boules en verre.

Tu as peut-être déjà entrepris de t’attaquer aux achats de Noël et à leurs magasins bondés. Et peut-être as-tu même déjà emballé et planqué tes cadeaux dans le coffre de la

O.P.I 17 ➼ A la BASE de toute manucure !

Je vous ai déjà présenté deux ou trois trucs pour avoir de beaux ongles avant d’espérer se faire une belle manucure : la brosse à ongles The Body Shop pour nettoyer, le polissoir à quatre faces Séphora pour limer et aplanir toutes les irrégularités, et aujourd’hui on s’attaque à une étape e-ssen-tielle selon moi : LA BASE.

Avant de vernir les ongles de copine Naurel pendant les vacances, j’ai dégainé mon Start To Finish d’ OPI.
Devant sa stupéfaction, je lui ai expliqué à quoi servait l’application de cette base transparente avant même de poser le vernis de couleur. Et je me suis moi-même étonnée que toutes les gonzesses ne connaissent pas ce geste manucuresque indispensable : non seulement une bonne base protège les ongles d’éclats prématurés sous le vernis, mais surtout elle protège d’un éventuel dégorgement de couleur sur les ongles, particulièrement avec les vernis foncés.

En gros pour éviter de te retrouver avec des griffes et des doigts de Schtroumph une fois ton vernis bleu foncé enlevé, il vaut mieux procéder au préalable à l’application d’une base. Sauf que la première sur laquelle j’ai jeté mon dévolu, la base Séphora , est une bouse. Il faudrait que je vous en parle un de ces jours. J’en voulais donc une autre, je ne pouvais décemment pas rester sur un échec ! Et surtout il me faut le top du top pour mes griffes.

J’ai évidemment jeté mon dévolu sur OPI, vouant une

[ Défi du lundi ] Trop vernie, cette gonzesse.

J’aime le lundi. Déjà parce que le Lundi c’est le jour de l’ Amour est dans le Pré, mais aussi parce que c’est le jour du Défi du Lundi et que cette semaine, MyBeauty propose de parler d’un truc typiquement féminin : les vernis.

Les vernis, c’est la définition même d’un engrenage : dès que t’as mis l’ongle dedans, tu peux pu t’en passer et il t’en faut toujours plus.

Il y a encore 3 ou 4 ans, je ne portais quasiment jamais de vernis. Depuis j’en ai acquis un certain nombre ( hum hum, je vois déjà Musclor rire dans sa barbe )

♥ Touched for the very first tiiiime ♥

Un jour.

Il m’a fallu 1 jour pour dépuceler ma première plaque MoYouLondon commandée sur la NailArtBoutique. J’en ai déballé 5 comme une furie avant de me jeter à l’eau dès le lendemain.

Quatre ans et un jour.

Il nous a fallu 4 ans et 1 jour pour nous unir par les liens non-sacrés du PACS Musclor et moi. Le premier soir, je l’ai emballé comme une furie avant de me jeter à l’eau 4 ans plus tard ^^

Hier soir , j’avais envie d’une manucure virginale pour célébrer notre PACS d’aujourd’hui. J’ai naturellement opté pour du blanc comme base ( le magnifique Alpine Snow d’OPI ) puis j’ai attrapé ma plaque Mona et j’ai stampé des motifs avec le sublime Secret Blue de KONAD, un bleu tirant sur le vert.

Et autant les mecs bossant sur mon