( COTTAGE ) On laisse pas bébé dans un coing

Patrick nous lança ce qui fut sans doute l’une des répliques cultes de Dirty Dancing, le film qui m’a collé des frissons dans le ventre et des étoiles plein les yeux alors que je n’avais que 10 ans. Moi non plus je n’aimais pas aller au coin. Par contre, grâce à Cottage, je kiffe désormais aller aux coings…sous ma douche.

C’est une histoire d’amour entre la marque et moi qui débuta il y a plusieurs lunes saisons chez ma Psychou lorsque j’ai découvert le breuvage corporel au caramel. Depuis plusieurs mignons flacons colorés ont eu le privilège de me voir toute nue, dont celui au cassis-amande ( review complète ici ) et le génial pomme d’amour ( c’est là ).

Mais j’ai toujours eu un problème avec Cottage : m’approvisionner. Et c’est lors

( Hydralin Apaisa ) Recette de moule(s) fraîche(s)

Comme Musclor m’a encore coupé le jus dans l’appart, je cherche des occupations. Mais j’en ai ma claque de bouquiner. Alors quand j’ai accès à l’électricité, je recharge mon Macbook pour pouvoir rédiger des billets. Jusqu’à ce que la batterie cède, puis j’attends le jus, puis il revient 5 minutes etc etc….Bref ma vie est passionnante.

Concernant ce billet, j’ai décidé d’arrêter les sujets un tant soit peu glamours comme ceux concernant ma manucure ou mon maquillage pour vous parler d’un truc qui ne l’est pas du tout, glamour.
En même temps, on a beau être des princesses, il y a des trucs auxquels on n’échappe pas. Et on ne se contente pas de se laver la crinière, la tronche, les jambons ou plus généralement la couenne. On se lave aussi les aisselles

( Samantha, bonne à rien faire – S. KINSELLA ) Du cabinet aux cabinets, c’est pas un article de chiotte !

J’estime à une quinzaine de lectures ma boulimie de chicklit en quelques semaines. Je me shootais au fond de mon lit, mais j’encourage vivement les ( sales petites ) veinardes à profiter des bienfaits de cette littérature jouissive les orteils bien calés dans le sable, un mojito à la main.

Pendant ces quelques semaines, j’ai découvert des romans pas franchement transcendants mais aussi des petites pépites de chicklit.

Et comme je suis de bon poil aujourd’hui, je préfère vous causer d’un de ceux que j’ai apprécié, et son auteure ne vous est sûrement pas inconnue puisqu’il s’agit de Sophie Kinsella. En tout cas, moi je la connais et notre histoire d’amour dure depuis le début de l’année 2011!

Sophie a la trentaine et elle a de belles dents. Ca on le voit en ouvrant la toute première page du bouquin où trône un portrait souriant. On apprend aussi qu’elle est devenue une véritable star outre-manche, sans doute grâce à sa série de l’ Accro…